D'autant plus que je me sens chanceuse par rapport à mon conjoint, qui prend le plus souvent en charge les repas et ne me critique nullement sur ma façon de manger, que je mange trop ou grossisse périodiquement.
Je dirai que pour ma part je me suis adaptée à sa façon de se nourrir - limite auparavant à sa façon de boire!
Puis j'ai consulté une diététicienne en octobre dernier car quelques kilos ne voulaient pas être délogés et je craignais une incrustation avant la (pré-)ménopause. Ces kilos sont perdus, j'aurais pu en perdre encore plus mais je préfère me recentrer sur ce que je considère comme mon poids de forme plutôt que perdre à tout prix et reprendre.
Je mange donc moins, que mon conjoint notamment. Et je bouge plus au quotidien, ce qui pêchait pas mal aussi. Ca a été un rééquilibrage un peu "compliqué" au début mais une habitude désormais, je sais et sens quand un déséquilibre se fait et je fais donc naturellement ce qu'il faut pour retrouver l'équilibre.
Bonjour Anne-France, un grand merci pour ce retour, j'espère pour vous que ces nouvelles habitudes vous conviennent et pourront durer. NB : je me bats contre l'idée qu'on grossit forcément à la ménopause !
Merci pour votre NB. En effet, cela n'arrive sûrement pas à tout le monde, j'ai d'ailleurs une de mes tantes qui est aussi mince à 65 qu'à 30-40 ans.
Me connaissant, je sais cependant que j'aurais tendance à me laisser aller et ne pas m'adapter à une nouvelle hygiène de vie qui doit (forcément?) apparaître à ce moment charnière de la vie.
Je serai en tout cas preneuse d'un article sur le sujet 😊
Bonjour Anne-France, ne vous inquiétez pas par avance ! J'avais fait un épisode de BCBT le podcast sur la ménopause et retranscrit aussi sur le blog plus récemment : https://www.arianegrumbach.com/menopause-meme-pas-peur/
Merci pour ces réflexions qui me semblent très justes ! Chez nous, j'essaye depuis plusieurs années de manger le plus végétal possible, à cause de l'impact environnemental mais aussi par goût et parce que ça a considérablement amélioré mon bien-être digestif. La viande ne me manque pas mais mon mari est un "viandard". Il y a souvent deux repas différents mais pas systématiquement. On a souvent une base commune, mon conjoint essaye d'acheter "des trucs qui me font plaisir" et je partage souvent un aliment "carné" avec lui. Pour les quantités, je mange beaucoup moins en général et moins sucré (gourmande mais vite écœurée j'adapte les recettes quand je peux ). Lui et mes fils mangent souvent ce que je laisse, mais ça ne me dérange pas de garder un reste pour plus tard. Mon mari doit "faire attention" en ce moment, donc j'évite de prendre les gens pour des poubelles ! En tout cas on a les mêmes goûts sur pas mal de types de cuisine, on apprécie de boire un bon verre et on aime se faire plaisir ! Dans la semaine, on a 1-2 créneaux quasiment réservés depuis la naissance des enfants (18 ans!) et ça c'est super pour se retrouver quelques soient les différences et désaccords.
Une très belle newsletter comme habituellement. Merci Ariane de parler de cette influence des habitudes de l autre conjoint sur les habitudes alimentaires du couple - famille avec répercussion possible sur le poids. La grande question est de pouvoir en prendre conscience pour regarder si ça convient à notre faim du moment . Pour ma part je n ai pas souvent cette disponibilité de présence prise par le rythme quotidien. Et c est plus difficile quand il y a des plats gras et appétissants sur la table ☺️
Bonjour Léonie, merci beaucoup, cela me fait vraiment plaisir. Et merci pour ce retour, il est en effet parfois difficile de conscientiser sa façon de manger, mais c'est un petit effort faisable si cela vous dit :-)
C’est très intéressant. Il est clair que les goûts et les habitudes de chacun peuvent se télescoper. Je pense qu’au fil des années, certains plats émergent qui font plaisir aux deux, c’est ce qui est arrivé chez nous. En revanche, quand nous sommes seuls, nous ne cuisinons pas du tout de la même manière 😂 J’aime beaucoup le style romancé du
Bonjour Ariane, merci encore pour votre lettre riche et intéressante. À la maison, nous avons pris l’habitude - sans que ce soit vraiment réfléchi - de prendre à peu près les mêmes quantités pour le plat principal, mais mon mari complète avec un dessert, alors que je m’en passe généralement. Dans certaines périodes, je ressens sa capacité à manger plus riche et sucré que moi sans prendre de poids comme une injustice, mais la plupart du temps ce n’est pas un sujet : mon appétit et mes papilles sont pleinement satisfaites par ce que je mange.
Je me retrouve totalement dans ton article Ariane et je le trouve vraiment très intéressant.
Merci beaucoup Marie-Lou pour ta lecture, ravie que ça te parle
Encore et toujours: merci!
D'autant plus que je me sens chanceuse par rapport à mon conjoint, qui prend le plus souvent en charge les repas et ne me critique nullement sur ma façon de manger, que je mange trop ou grossisse périodiquement.
Je dirai que pour ma part je me suis adaptée à sa façon de se nourrir - limite auparavant à sa façon de boire!
Puis j'ai consulté une diététicienne en octobre dernier car quelques kilos ne voulaient pas être délogés et je craignais une incrustation avant la (pré-)ménopause. Ces kilos sont perdus, j'aurais pu en perdre encore plus mais je préfère me recentrer sur ce que je considère comme mon poids de forme plutôt que perdre à tout prix et reprendre.
Je mange donc moins, que mon conjoint notamment. Et je bouge plus au quotidien, ce qui pêchait pas mal aussi. Ca a été un rééquilibrage un peu "compliqué" au début mais une habitude désormais, je sais et sens quand un déséquilibre se fait et je fais donc naturellement ce qu'il faut pour retrouver l'équilibre.
Ni trop ni trop peu, c'est ce qu'il me faut.
Bonjour Anne-France, un grand merci pour ce retour, j'espère pour vous que ces nouvelles habitudes vous conviennent et pourront durer. NB : je me bats contre l'idée qu'on grossit forcément à la ménopause !
Chère Ariane,
Merci pour votre NB. En effet, cela n'arrive sûrement pas à tout le monde, j'ai d'ailleurs une de mes tantes qui est aussi mince à 65 qu'à 30-40 ans.
Me connaissant, je sais cependant que j'aurais tendance à me laisser aller et ne pas m'adapter à une nouvelle hygiène de vie qui doit (forcément?) apparaître à ce moment charnière de la vie.
Je serai en tout cas preneuse d'un article sur le sujet 😊
Bonjour Anne-France, ne vous inquiétez pas par avance ! J'avais fait un épisode de BCBT le podcast sur la ménopause et retranscrit aussi sur le blog plus récemment : https://www.arianegrumbach.com/menopause-meme-pas-peur/
Cette newsletter me rassure, il s'agit bien d'une réalité !
Merci Ariane
Merci pour ce retour !
Merci pour ces réflexions qui me semblent très justes ! Chez nous, j'essaye depuis plusieurs années de manger le plus végétal possible, à cause de l'impact environnemental mais aussi par goût et parce que ça a considérablement amélioré mon bien-être digestif. La viande ne me manque pas mais mon mari est un "viandard". Il y a souvent deux repas différents mais pas systématiquement. On a souvent une base commune, mon conjoint essaye d'acheter "des trucs qui me font plaisir" et je partage souvent un aliment "carné" avec lui. Pour les quantités, je mange beaucoup moins en général et moins sucré (gourmande mais vite écœurée j'adapte les recettes quand je peux ). Lui et mes fils mangent souvent ce que je laisse, mais ça ne me dérange pas de garder un reste pour plus tard. Mon mari doit "faire attention" en ce moment, donc j'évite de prendre les gens pour des poubelles ! En tout cas on a les mêmes goûts sur pas mal de types de cuisine, on apprécie de boire un bon verre et on aime se faire plaisir ! Dans la semaine, on a 1-2 créneaux quasiment réservés depuis la naissance des enfants (18 ans!) et ça c'est super pour se retrouver quelques soient les différences et désaccords.
Bonjour Isa, merci beaucoup pour ce retour et ce témoignage qui montre qu'on peut trouver un terrain d'entente sans manger exactement pareil
Une très belle newsletter comme habituellement. Merci Ariane de parler de cette influence des habitudes de l autre conjoint sur les habitudes alimentaires du couple - famille avec répercussion possible sur le poids. La grande question est de pouvoir en prendre conscience pour regarder si ça convient à notre faim du moment . Pour ma part je n ai pas souvent cette disponibilité de présence prise par le rythme quotidien. Et c est plus difficile quand il y a des plats gras et appétissants sur la table ☺️
Bonjour Léonie, merci beaucoup, cela me fait vraiment plaisir. Et merci pour ce retour, il est en effet parfois difficile de conscientiser sa façon de manger, mais c'est un petit effort faisable si cela vous dit :-)
C’est très intéressant. Il est clair que les goûts et les habitudes de chacun peuvent se télescoper. Je pense qu’au fil des années, certains plats émergent qui font plaisir aux deux, c’est ce qui est arrivé chez nous. En revanche, quand nous sommes seuls, nous ne cuisinons pas du tout de la même manière 😂 J’aime beaucoup le style romancé du
début.
Merci beaucoup pour ce témoignage intéressant Pascale et grand merci d'avoir apprécié mon petit roman
Bonjour Ariane, merci encore pour votre lettre riche et intéressante. À la maison, nous avons pris l’habitude - sans que ce soit vraiment réfléchi - de prendre à peu près les mêmes quantités pour le plat principal, mais mon mari complète avec un dessert, alors que je m’en passe généralement. Dans certaines périodes, je ressens sa capacité à manger plus riche et sucré que moi sans prendre de poids comme une injustice, mais la plupart du temps ce n’est pas un sujet : mon appétit et mes papilles sont pleinement satisfaites par ce que je mange.
Bonjour Anne-Solange, un grand merci pour ce retour et pour la fidélité de lecture