14 Commentaires
mars 2Liké par Ariane Grumbach

Bonjour Ariane, merci pr cette newsletter et vos recommandations culturelles que j'apprécie beaucoup !!

Comme d'habitude, vous analysez fort justement une tendance actuelle.

Moi, je me suis desabonnée de tous les comptes "diététiques " sauf du vôtre.

J'avais justement l'impression d'un ras le bol ...

J'applique surtout un grand principe manger légumes et fruits "local" et de saison, ne pas consommer de produits transformés, j'essaye de limiter la viande mais j'habite en face d'un boucher excellent...alors je suis tentée !

J'ai la chance d'habiter le sud est après Paris, et j'adore marcher ds ces merveilleux paysages qui sont ceux de mon enfance c'est une autre nourriture sans oublier un zeste de culture qui me nourrit aussi (ça me fait penser à cette réflexion très méprisante de notre PR...)

Par contre, je regrette de ne pas avoir trouvé d'offres de cuisine asiatique de qualité ds ma région, alors qu'à Paris habitant le 13ieme j'étais comblée...

J'attends déjà avec impatience votre prochaine newsletter

Merci!!

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mars 1Liké par Ariane Grumbach

Bonjour Ariane, merci pour ce texte ! C'est une approche qui m'avait paru un peu étrange à l'époque, parce qu'entourée d'injonctions, de modes et de tendances de toutes sortes ... nous rappeler qu'on est unique, que notre corps a sa propre sagesse et que c'est à chacun de nous de nous écouter et d'expérimenter ce qui nous convient ... Un grand merci !

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mars 1Liké par Ariane Grumbach

D’une part, il y a la complexité, l’overdose d’informations, les injonctions contradictoires… et de l’autre, les sensations alimentaires, l’instinct qui nous pousse vers tel ou tel aliment, les émotions qui veulent avoir leur mot à dire. Comment concilier tout ça? Après avoir beaucoup tâtonné, j’ai gardé quelques principes, crudités en entrée, sucré à la fin du repas, cuisiner le plus souvent possible à partir de produits bruts et complets, ne pas manger en soirée et avant d’aller me coucher, écouter ma faim ou mon absence de faim pour prendre ou non un petit-déjeuner (ça s’appelle aujourd’hui le jeûne intermittent). Et bouger (marche, course à pied). Cela m’a réussi puisque j’ai perdu les kilos post-ménopause/confinement tout en me régalant. Au final, je retrouve la façon de manger qui était la mienne petite fille avec un maman pédiatre soucieuse que ses enfants aient assez de « vitamines », à une époque où les produits ultra-transformés étaient rares. Une alimentation « de bon sens ». Je ne sais pas si nous avons chacun.e au fond de nous une « sagesse alimentaire » que nous pourrions retrouver en nous débarrassant des habitudes (et souvent des addictions) sciemment induites par l’industrie de la malbouffe. Alors, le corps est content et nous le fait savoir. Mais il est vrai que cette quête passe par le cerveau, beaucoup de recherches et d’ajustements, avant de pouvoir lâcher le contrôle et simplement manger ce dont on a vraiment besoin.

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mars 1Liké par Ariane Grumbach

Plus jeune, je me suis beaucoup informée en lisant des livres de régimes, puis des livres de médecins, nutritionnistes ou non, puis sur le site du GROS. Aujourd'hui, j'ai pris du recul et je ne cherche plus vraiment à m'informer, mais plutôt à réfléchir, je reste sceptique devant les solutions miracles, les diabolisations en tout genre et les rituels quasi-mystiques. Je crois (!) En la complexité dans ce domaine comme dans beaucoup d'autres. Et j'apprecie beaucoup les gens qui comme vous, font place à cette complexité.

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