Je n'ai jamais trop aimé le sport, lié à des souvenirs scolaires pas terribles (mais pas traumatisants pour autant) et je ne viens pas d'une famille très sportive non plus, alors ce n'est clairement pas dans mes habitudes. J'aime marcher en ville, et faire du vélo (même si je me dis que je triche un peu en prenant quasi toujours des Vélib électriques ahah) et je sens que bouger me fait du bien, mais je me dis aussi que je devrais "faire du sport" (ou en tout cas me muscler) pour éviter certaines douleurs cervicales... Mais mon emploi du temps ne me permet pas de caser des séances en dehors de chez moi et chez moi, hem, j'ai la flemme. Je sens que je peux m'y remettre (je faisais du yoga et/ou un peu de gym chez moi de façon irrégulière mais quand même de temps en temps avant de retravailler avec le rythme que j'ai actuellement) et que j'ai envie, mais je sais pas ce qu'il me manque pour vraiment le faire. Peut-être aussi que j'ai trop peur de continuer à associer sport/exercice à une éventuelle perte de poids (que je souhaite, soyons honnêtes) et donc de faire tout ça pour les mauvaises raisons. Bref, complexe cette histoire !
J'écris ce commentaire à chaud...peut être serait-il different si j'avais pris le temps de digérer cet article!?
Je déteste le sport...d'aussi loin que je me souvienne...j'ai éte dispensée de sport avec des entorses des chevilles à répétition à partir du collège et ça m'allait fort bien!
J'ai appris à nager avec mon papa dans une piscine municipale ultra tranquille mais en fait le principal interêt résidait dans ces moments privilegiés avec lui...il trouvait ça primordial de savoir nager donc moi aussi.
J'ai fais de l'equitation plaisir quelques années...et beaucoup de rien pendant longtemps au moins 20 ans!
Aujourd'hui j'aime marcher mais je ne le fais pas assez souvent vu que je passe 4 à 5 heures par jour à jardiner. Je ne considère aucune de ces 2 activités comme du sport.
Merci pour cet article qui ouvre les perspectives quand à ma relation au sport.
C'est plutôt intéressant du coup de faire notre propre bilan!
Moi je n'aime pas le sport et je me force pr rester en bonne santé!
J'ai appris très jeune à nager (j'habitais au bord de la Méditerranée) et j'ai toujours eu horreur des piscines. Du coup j'ai perdu l'envie de nager quand j'ai déménagé à Paris.
J'ai toujours suivi des cours de gym/stretching à Paris avec plus ou moins de satisfaction selon les salles et les profs.
Et enfin, assez tard j'ai découvert le yoga!
Que j'ai pratiqué avec passion grâce à une professeur, quand celle-ci a pris sa retraite je me suis trouvée très démunie, difficile de retrouver qq.
J'ai déménagé et retourné ds ma région natale , j'essaye d'allier plaisir et devoir
J'ai ma chance d'être très souple malgré mon âge, ce qui est un atout et ça y est j'ai retrouvé un prof de yoga!
Mais rien n'est facile pr moi : je n'aime pas le sport et c'est comme ça !
Je préfère mon canapé, mes bouquins, le cinéma et ...un bon resto!
Le sport pour moi c'est comme me laver les dents, je n'aime pas (je l'avoue) mais je le fais car c'est indispensable !!
Quant aux expressions favorites de votre maman j'ai retrouvé ma phrase fétiche :Bon ne s'écrit pas avec un C
Bonne journée Ariane et vivement votre prochaine newsletter!!
Team natation présente 🙋🏼♀️ Comme toi j'adore nager! Piscine, lac, rivière, mer... dès qu'il y a de l'eau j'y vais!! Et je pense aussi qu'il est nécessaire de trouver une activité sportive qui fait plaisir, sinon le sport devient une corvée. Bonne brasse :-)
Merci Ariane pour cette newsletter. Dans ma famille, le sport était considéré comme « prolétaire », à part le tennis. Adulte et expatriée, loin de tout ce qui me gênait, je suis devenue assistante de prof d’arts martiaux, puis prof de kick-boxing, et de retour en France, j’ai suivi la formation d’Educateur sportif et aujourd’hui j’enseigne le yoga, tout en suivant quotidiennement des cours de fitness 🤗 Je suis ravie.
Adolescente, j’avais été intriguée par l’éducation anglo-saxonne qui privilégiait « un esprit sain dans un corps sain ». Et qui offrait même des bourses d’étude aux jeunes athlètes. Je ne comprenais pas pourquoi dans l’école française l’EPS et les profs de sport étaient moqués. Et pourtant, je garde de bons souvenirs de la marche dans les rues de Paris pour arriver au stade où au bois de Boulogne pour pratiquer en plein air avec notre prof.
En revanche, j’ai la phobie de la piscine municipale 😅
Bonjour Ariane, merci pour ce partage plein de questions/réflexions sans injonctions.
Pratiquante convaincue de plusieurs disciplines au fil des années, j'aimerais juste insister sur la nécessité absolue de bouger, même si on ne parle pas de sport. J'ai du mal à me défaire, à titre personnel, du conformisme corporel. Pour autant, ma pratique est aussi très orientée santé et bien-être, la sédentarité étant notre ennemie mortelle. Et j'ai autant à cœur de me faire plaisir que de prendre soin de moi en pratiquant mon activité physique. D'ailleurs, la nage longue distance en eau libre semble une expérience intense à tous points de vue.
Merci pour ces questionnements subtils et bienveillants.
Je nage une fois par semaine,sport de mon adolescence. Je dois reconnaître que j’y vais avec des amies, l’effet d’entraînement et de compagnie est important pour moi. Plus difficile d’y aller seule. J’en ai conclu que c’est plus par raison de bienfaits que par réel plaisir,sauf que je suis plus que ravie en sortant !!!
Merci pour vos conseils lecture : je viens de terminer Marie Curie et ses filles 👍et vais commencer Les nuits que l’on choisit..
Merci pour cette newsletter qui a mis au jour certaines zones d'ombre de mon rapport au sport. Déjà, cela m'a fait quelque chose de lire ce "j'adore nager" à plusieurs reprises qui a eu un écho sincère en moi. Mon rapport au sport est devenu assez difficile à appréhender depuis que j'ai souffert de TCA et parce que ma maman, qui en souffre toujours, m'a toujours parue faire du sport à outrance pour éliminer. Aussi loin que je me souvienne, j'ai toujours lu, vu et entendu (dans la société en général) que le sport pouvait être pratiqué pour le plaisir mais aussi "pour rester en forme". C'est une réalité mais de mon point de vue, cela sonne comme une excuse à simplement faire une activité pour le plaisir, un point c'est tout...
Du coup, dès que je bouge je me demande : est-ce vraiment pour le plaisir ? Est-ce que ça me fait vraiment du bien et à quel point de vue ? Ce qui est quand même assez prise de tête mais comme toute personne ayant souffert de TCA, je me méfie souvent de mes intentions cachées !
Et par rapport a la nage en tant que telle, j'ai eu la chance d'être extrêmement privilégiée, car mes grands parents chez qui j'allais en vacances avaient une piscine et que je vivais près de la mer. Arrivée à Paris, je n'ai jamais vraiment réussi à la piscine municipale que je trouvais trop contraignante voire même parfois violente. S'imposer face aux nageurs stressés m'otant tout plaisir...
Bref, j'ai super envie de retourner nager quand même et peut être que mon futur déménagement aidera 🤞
Merci beaucoup Ariane pour ce billet généreux, empreint de douceur et de don de toi. Il fait beaucoup de bien dans un environnement qui multiplie les injonctions et l'hygiénisme.
Il est vrai que c'est parfois compliqué de vivre le plaisir de l'eau quand on n'a pas une taille standard.
Comme d'habitude, que du bon sens et de la bienveillance dans ta newsletter ! Dommage que je ne t'ai connue que trop tard : je fais partie de ceux/celles qui se sont longtemps forcés à non pas faire "un sport", mais "du sport" sans en avoir le goût, uniquement pour l'aspect "rester en forme"... Et évidemment, toutes les tentatives se sont soldées par un : "bon j'aime pas ça, j'arrête". Ta newsletter me confirme que je suis churchillienne dans l'âme et je l'accepte :D
Newsletter très intéressante, merci :)
Je n'ai jamais trop aimé le sport, lié à des souvenirs scolaires pas terribles (mais pas traumatisants pour autant) et je ne viens pas d'une famille très sportive non plus, alors ce n'est clairement pas dans mes habitudes. J'aime marcher en ville, et faire du vélo (même si je me dis que je triche un peu en prenant quasi toujours des Vélib électriques ahah) et je sens que bouger me fait du bien, mais je me dis aussi que je devrais "faire du sport" (ou en tout cas me muscler) pour éviter certaines douleurs cervicales... Mais mon emploi du temps ne me permet pas de caser des séances en dehors de chez moi et chez moi, hem, j'ai la flemme. Je sens que je peux m'y remettre (je faisais du yoga et/ou un peu de gym chez moi de façon irrégulière mais quand même de temps en temps avant de retravailler avec le rythme que j'ai actuellement) et que j'ai envie, mais je sais pas ce qu'il me manque pour vraiment le faire. Peut-être aussi que j'ai trop peur de continuer à associer sport/exercice à une éventuelle perte de poids (que je souhaite, soyons honnêtes) et donc de faire tout ça pour les mauvaises raisons. Bref, complexe cette histoire !
Ariane
J'écris ce commentaire à chaud...peut être serait-il different si j'avais pris le temps de digérer cet article!?
Je déteste le sport...d'aussi loin que je me souvienne...j'ai éte dispensée de sport avec des entorses des chevilles à répétition à partir du collège et ça m'allait fort bien!
J'ai appris à nager avec mon papa dans une piscine municipale ultra tranquille mais en fait le principal interêt résidait dans ces moments privilegiés avec lui...il trouvait ça primordial de savoir nager donc moi aussi.
J'ai fais de l'equitation plaisir quelques années...et beaucoup de rien pendant longtemps au moins 20 ans!
Aujourd'hui j'aime marcher mais je ne le fais pas assez souvent vu que je passe 4 à 5 heures par jour à jardiner. Je ne considère aucune de ces 2 activités comme du sport.
Merci pour cet article qui ouvre les perspectives quand à ma relation au sport.
Bonjour Ariane
Merci pour vôtre billet!
C'est plutôt intéressant du coup de faire notre propre bilan!
Moi je n'aime pas le sport et je me force pr rester en bonne santé!
J'ai appris très jeune à nager (j'habitais au bord de la Méditerranée) et j'ai toujours eu horreur des piscines. Du coup j'ai perdu l'envie de nager quand j'ai déménagé à Paris.
J'ai toujours suivi des cours de gym/stretching à Paris avec plus ou moins de satisfaction selon les salles et les profs.
Et enfin, assez tard j'ai découvert le yoga!
Que j'ai pratiqué avec passion grâce à une professeur, quand celle-ci a pris sa retraite je me suis trouvée très démunie, difficile de retrouver qq.
J'ai déménagé et retourné ds ma région natale , j'essaye d'allier plaisir et devoir
J'ai ma chance d'être très souple malgré mon âge, ce qui est un atout et ça y est j'ai retrouvé un prof de yoga!
Mais rien n'est facile pr moi : je n'aime pas le sport et c'est comme ça !
Je préfère mon canapé, mes bouquins, le cinéma et ...un bon resto!
Le sport pour moi c'est comme me laver les dents, je n'aime pas (je l'avoue) mais je le fais car c'est indispensable !!
Quant aux expressions favorites de votre maman j'ai retrouvé ma phrase fétiche :Bon ne s'écrit pas avec un C
Bonne journée Ariane et vivement votre prochaine newsletter!!
Merci de ta recommandation et de tes mots, Ariane !
Bises,
Farah
Team natation présente 🙋🏼♀️ Comme toi j'adore nager! Piscine, lac, rivière, mer... dès qu'il y a de l'eau j'y vais!! Et je pense aussi qu'il est nécessaire de trouver une activité sportive qui fait plaisir, sinon le sport devient une corvée. Bonne brasse :-)
Merci Ariane pour cette newsletter. Dans ma famille, le sport était considéré comme « prolétaire », à part le tennis. Adulte et expatriée, loin de tout ce qui me gênait, je suis devenue assistante de prof d’arts martiaux, puis prof de kick-boxing, et de retour en France, j’ai suivi la formation d’Educateur sportif et aujourd’hui j’enseigne le yoga, tout en suivant quotidiennement des cours de fitness 🤗 Je suis ravie.
Adolescente, j’avais été intriguée par l’éducation anglo-saxonne qui privilégiait « un esprit sain dans un corps sain ». Et qui offrait même des bourses d’étude aux jeunes athlètes. Je ne comprenais pas pourquoi dans l’école française l’EPS et les profs de sport étaient moqués. Et pourtant, je garde de bons souvenirs de la marche dans les rues de Paris pour arriver au stade où au bois de Boulogne pour pratiquer en plein air avec notre prof.
En revanche, j’ai la phobie de la piscine municipale 😅
Merci pour vos recommandations de podcasts.
Bon week-end
Florence
Bonjour Ariane, merci pour ce partage plein de questions/réflexions sans injonctions.
Pratiquante convaincue de plusieurs disciplines au fil des années, j'aimerais juste insister sur la nécessité absolue de bouger, même si on ne parle pas de sport. J'ai du mal à me défaire, à titre personnel, du conformisme corporel. Pour autant, ma pratique est aussi très orientée santé et bien-être, la sédentarité étant notre ennemie mortelle. Et j'ai autant à cœur de me faire plaisir que de prendre soin de moi en pratiquant mon activité physique. D'ailleurs, la nage longue distance en eau libre semble une expérience intense à tous points de vue.
Merci pour ces questionnements subtils et bienveillants.
Merci pour cette belle news letter.
Je nage une fois par semaine,sport de mon adolescence. Je dois reconnaître que j’y vais avec des amies, l’effet d’entraînement et de compagnie est important pour moi. Plus difficile d’y aller seule. J’en ai conclu que c’est plus par raison de bienfaits que par réel plaisir,sauf que je suis plus que ravie en sortant !!!
Merci pour vos conseils lecture : je viens de terminer Marie Curie et ses filles 👍et vais commencer Les nuits que l’on choisit..
Bonne journée ☀️
Merci pour cette belle newsletter. C est une réponse rapide mais les questions que vous posez sont importantes et vont résonner dans les jours à venir
Bonjour Ariane,
Merci pour cette newsletter qui a mis au jour certaines zones d'ombre de mon rapport au sport. Déjà, cela m'a fait quelque chose de lire ce "j'adore nager" à plusieurs reprises qui a eu un écho sincère en moi. Mon rapport au sport est devenu assez difficile à appréhender depuis que j'ai souffert de TCA et parce que ma maman, qui en souffre toujours, m'a toujours parue faire du sport à outrance pour éliminer. Aussi loin que je me souvienne, j'ai toujours lu, vu et entendu (dans la société en général) que le sport pouvait être pratiqué pour le plaisir mais aussi "pour rester en forme". C'est une réalité mais de mon point de vue, cela sonne comme une excuse à simplement faire une activité pour le plaisir, un point c'est tout...
Du coup, dès que je bouge je me demande : est-ce vraiment pour le plaisir ? Est-ce que ça me fait vraiment du bien et à quel point de vue ? Ce qui est quand même assez prise de tête mais comme toute personne ayant souffert de TCA, je me méfie souvent de mes intentions cachées !
Et par rapport a la nage en tant que telle, j'ai eu la chance d'être extrêmement privilégiée, car mes grands parents chez qui j'allais en vacances avaient une piscine et que je vivais près de la mer. Arrivée à Paris, je n'ai jamais vraiment réussi à la piscine municipale que je trouvais trop contraignante voire même parfois violente. S'imposer face aux nageurs stressés m'otant tout plaisir...
Bref, j'ai super envie de retourner nager quand même et peut être que mon futur déménagement aidera 🤞
Merci beaucoup Ariane pour ce billet généreux, empreint de douceur et de don de toi. Il fait beaucoup de bien dans un environnement qui multiplie les injonctions et l'hygiénisme.
Il est vrai que c'est parfois compliqué de vivre le plaisir de l'eau quand on n'a pas une taille standard.
Comme d'habitude, que du bon sens et de la bienveillance dans ta newsletter ! Dommage que je ne t'ai connue que trop tard : je fais partie de ceux/celles qui se sont longtemps forcés à non pas faire "un sport", mais "du sport" sans en avoir le goût, uniquement pour l'aspect "rester en forme"... Et évidemment, toutes les tentatives se sont soldées par un : "bon j'aime pas ça, j'arrête". Ta newsletter me confirme que je suis churchillienne dans l'âme et je l'accepte :D